Loneliness

Loneliness

dimanche 28 octobre 2007

PRECIEUX REFLETS

création Muttifree

« Effect’ ivement », en ces pages virtuelles ne circulent, en apparence, qu’Images et Mots…

Mots et Images, traducteurs et traductrices de pensées et de Pensées, d’impressions, de sensations, de sentiments de l’Ici et du Maintenant, ou d’un ailleurs et autrement, toujours possible dans le royaume du tout possible.

Mots et Images qui reflètent toutes les idéations de l’Homme, l’illusion dans l’illusion, l’illusion sans illusion, l’objectivité, la subjectivité, tout, absolument tout, sur le Miroir infini et immuable de l’espace sans nom…

Reflets infiniment précieux,
Des Témoins devant la vérité de Ce Qui Est
Dans le non-espace du Non-Né,
De l’Inconnaissable irradiant l’Idée de Vie
Chac’Un en participation et en témoignage d’Amour
pour l’Alchimique Symphonie du Silence.

vendredi 26 octobre 2007

ET SAVARI CHANTA...


« La pureté primordiale de l’esprit
Est de la nature de l’espace
Il n’y a rien que quelqu’un
Puisse recevoir ou rejeter !
Le Gange et toutes les rivières qui s’y jettent
Coulent dans l’océan et n’ont plus qu’une saveur.
L’esprit et les évènements
Reposent dans l’expansion de la réalité originelle,
Ils n’ont qu’une seule saveur !
Pour un esprit illuminé
La dualité de la méditation et non-méditation n’existe pas.
Ainsi l’espace ne se perçoit comme espace
Et ne médite pas sur lui-même :
C’est un état d’attention non duelle
Où les diverses perceptions
Se mêlent comme le lait et l’eau
Dans la saveur de la grande félicité. »

Extrait de « l’Incendie du Cœur » de Daniel Odier

Image créée par Muttifree

mercredi 24 octobre 2007

MÂITRE et ELEVE


En Inde, dans une région proche du Tibet, il était une fois un maître et son élève.
Quand le maître et l'élève eurent débattu des conditions pratiques d'usage, le maître commença son enseignement. Il dit à son élève :
« Tu dois être fort. Va chercher qui tu es. »

L'élève partit chercher la force et un an plus tard il revint voir son maître et lui dit :
« Je suis fort. »
Pour montrer sa force, il prit un roc qu'il aurait été incapable de déplacer une année auparavant, le leva au-dessus de sa tête et le fracassa en mille morceaux sur le sol.

Très bien, dit le maître, tu es fort. Maintenant, tu dois être intelligent, va chercher qui tu es.
L'élève partit chercher l'intelligence et trois ans plus tard il revint voir son maître et lui dit :
« Je suis intelligent. »

Le maître lui donna un texte très volumineux.
Reviens m'en parler dans trois heures.
Ce temps écoulé, le maître et l'élève parlèrent de l'ouvrage, d'égal à égal, jusqu'au lever du jour. Le maître à ce moment-là dit :
« Tu dois être sensible. Va chercher qui tu es... »

L'élève partit et son absence dura dix ans.
A son retour il montra au maître toute sa sensibilité.
Très bien, dit le maître, tu es fort, intelligent, sensible, tu dois aussi être rigoureux...

L'élève lui coupa la parole et dit :
Je suis qui je suis.

Je n'ai plus rien à t'apprendre, répondit le maître. Va, ton chemin est bien le tien.

mardi 23 octobre 2007

SEMAILLES

Photo Muttifree

… Toutes les fleurs de l'avenir sont dans la semence d'aujourd'hui…

- Inconnu -

dimanche 21 octobre 2007

OCEAN


Tant que vous vous prenez pour un individu vous êtes persuadé que l'individu va réaliser quelque chose.
Vous n'êtes libre que lorsque vous réalisez que l'individu n'a pas de réalité autonome.

Ne croyez pas que la vague … un jour … viendra se fondre dans l'Océan.

Comment le pourrait-elle puisqu'elle est déjà l'Océan ?

Avez-vous vu, déjà, un Océan sans vagues ?

Retirez les vagues, où est l'Océan ? Pas d'océan sans vagues, pas de vagues sans océan.
Voilà pourquoi la vague est l'océan.

Lorsque la vague cesse de se prendre pour une vague, elle est, maintenant et ici-même l'océan.

Et croyez-vous que l'Océan ait conscience d'être Océan ?
L'Océan ne voit rien qui soit différent de lui-même et c'est cela qui fait qu'il est Océan.
Pur Être.

Ainsi, lorsque la vague cesse de se prendre pour une vague, les concepts de vague et d'océan disparaissent. Seule demeure l'eau.

Et qu'est-ce que l'eau sinon la manifestation de la Source d'où elle provient ?

La connaissance de la nature de l'eau équivaut à la connaissance de sa source. Y aurait-il une source séparée de l'eau ?

Acceptez d'être, simplement, Conscience.

Sinon, qui éclairera le monde ?

Anonyme

mercredi 17 octobre 2007

mardi 16 octobre 2007

OUI, JE SAIS ...



Oui, je sais….

Ce petit mot à l’apparence toute simple, que l’on serine des millions de fois par jour un peu partout et en tous langages, ressemble à une terrible calamité.
Dès qu’il est prononcé, de quelque manière et pour quelque raison que ce soit, tout échange est interrompu, en soi-même comme avec…l’autre.
Bien sûr, la conversation peut tenir encore un peu de temps s’organisant autour de tout ce que le mental peut déployer, qui n’apportera plus aucune surprise, aucun émerveillement, du plaisir sans doute, mais peu de joie véritable.
Une porte s’est bel et bien fermée. Et ce qui est fermé, surtout, c’est l’Ecoute.
Pour quiconque prononce, Je Sais… l’oreille se ferme, sa position se replie tel l’escargot apeuré qui se réfugie sous sa coquille.
Oreille fermée, le regard se ternit, le cœur ne bat plus que pour permettre la survie temporelle d’une forme, l’esprit, l’intelligence ouverte de l’esprit ne peut plus, ou très difficilement atteindre quiconque s’est enfermé dans « son savoir ».
Prononçant cet impératif, Je Sais… comment pourrait-on …
Découvrir encore, et encore,
Comprendre, encore et encore,
S’émerveiller encore et encore,
Desceller le bonheur d’être et la joie de vivre.

Comment entendre le particulier et indivis JE SUIS… que tout UN chacun est…

Peut-être en ne se décomposant plus, en tout un cortège de vaines qualifications … et en déposant à jamais le … Je Sais …

dimanche 14 octobre 2007

Variation Astrologique Dominicale

Tableau de Stephanie Pui Mun Law


L’ARBRE DE LA VIE

Du tapis de Malkout, de Gaïa, d’Urantia,
Mots secrets et doux de la Terre,
Monte un chemin de Lumière

A l’étape lunaire, Gabriel et les Anges
D’un doigt pointé de Mystère
Nous désignent Mercure
Et l’Archange en sa gloire installé.
De son aile vibrante, d’un coup de vent léger
Raphaël nous évente
Vers la Victoire et les Principautés.
De Vénus alors, enrubannés,
Nous apprenons l’Amour.
Pour aller plus haut, plus loin, pour nous élever
Par l’Amour il nous faut, Etre, transportés.
Puis dans l’espace et le temps
Nous voguons jusqu’aux Vertus et la Beauté.
De Lumière et de Soleil, dès lors,
Par Mikaël nous sommes habillés.
En cette Lumière d’Or
Révélé au Soi qui se re-connaît
Le Sceptre du rayon rouge est donné.
De la Puissance et de la Force
La Porte est entrebâillée, mais plus loin
Plus haut encore, il faut aller
Et dans l’Eau de Miséricorde, nous baigner.
Saturne alors sur son Trône de Lumière
Nous révèle le Secret du Vert,
De l’Emeraude, de la Rosée de Mai.
Si, vainqueurs et charmés,
Par les Sept Rayons soudain animés
Si, par Uranus, nous nous laissons déshabiller
Et que le Cœur, à nu,
Se laisse regarder,
Des mains des Chérubins,
Le Livre de la Sagesse
Nous est donné.

Devant Neptune et ses Tourbillons
Dès lors nous nous tenons :

Mais de Cela, ici,
Nul ne peut parler.

vendredi 12 octobre 2007

SIMPLICITE ...

Posted by Picasa

« A partir du moment où on essaye d'analyser ou d'expliquer une chose,on perd l'essence même de la chose. Et la vie elle-même est au-delà de toute définition, il suffit simplement de l'éprouver et de la vivre. »

Jacques Mayol plongeur en apnée, "l'homme-dauphin"

mercredi 10 octobre 2007

BONHEUR...

Child of Lillith from Marissa

« ... Il est un état où l'âme trouve une assiette assez solide pour s'y reposer toute entière et rassembler là tout son être, sans avoir besoin de rappeler le passé ni d'enjamber sur l'avenir ; où le temps ne soit rien pour elle, où le présent dure toujours sans néanmoins marquer sa durée et sans aucune trace de succession, sans aucun sentiment de privation, ni de jouissance, de plaisir ni de peine, de désir ni de crainte que celui seul de notre existence, et que ce sentiment seul puisse la remplir tout entière ; tant que cet état dure, celui qui s'y trouve peut s'appeler heureux, non d'un bonheur imparfait pauvre et relatif, tel que celui qu'on trouve dans les plaisirs de la vie, mais d'un bonheur suffisant, parfait et plein, qui ne laisse dans l'âme aucun vide qu'elle sente le besoin de remplir. »

Jean-Jacques ROUSSEAU
Les Rêveries du Promeneur Solitaire (5ème promenade)
Oeuvre inachevée

mercredi 3 octobre 2007

LOVING LIFE

Image Muttifree

« Ainsi, l'âge avancé est...une limitation, un rétrécissement.
Et pourtant, il est tant de choses qui m'emplissent : les plantes, les animaux, les nuages, le jour et la nuit, et l'éternel dans l'homme.
Plus je suis devenu incertain au sujet de moi-même, plus a crû en moi un sentiment de parenté avec les choses.

Oui, c'est comme si cette étrangeté qui m'avait si longtemps séparé du monde avait maintenant pris place dans mon monde intérieur, me révélant à moi-même une dimension inconnue et inattendue de moi- même. »

« Ma vie »de C.G.Jung.

mardi 2 octobre 2007

PARAMATMA

Posted by Picasa
et transmis par Aksysmundi



PARAMATMA


Prenons Conscience de La Présence Divine

Dans le Cœur de tous les êtres.

Absorbons-nous en Cette Présence

Comme l’eau disparaissant dans l’eau,

L’Espace dans l’Espace,

La Lumière dans la Lumière.

L’Esprit Humain et l’Esprit Divin sont Un Seul Esprit

Prenons conscience de cette Vérité des Vérités.

Chaque jour, à chaque instant,

En méditation comme en nos tâches quotidiennes

Souvenons-nous de la Divine Présence

Dans le Cœur de tous les êtres.


HARI OM TAT SAT

Salut à cette Vérité Divine